
Dans ce scénario, le rôle de l’architecte serait de concevoir le squelette ou le plan directeur. Chaque élément architectural dans la scène est simplement une géométrie ou un volume délimitant. Il peut être décomposé en points. Les objets qui peupleraient ces points seraient conçus par les personnes ou un groupe de personnes de la communauté. Ceci pourrait être réalisé à la main, par logiciel, ou en temps réel en utilisant les pensées et les émotions via une interface cerveau-ordinateur. Le résultat est un collage d’objets s’unissant pour créer le produit final. Le logiciel aide à organiser les pièces, à créer des connexions, à les orienter et à connecter les systèmes de manière écologique.


Jhila Prentis examine la question de la migration et ses impacts sur les sociétés et les individus. À travers une série de réflexions et d’exemples, l’auteur discute des défis auxquels sont confrontés les réfugiés et les demandeurs d’asile, y compris les difficultés administratives en France et les conditions de vie précaires dans les camps. Il met en lumière les sentiments de tristesse et d’injustice ressentis en réponse à la détresse des migrants. Jhila Prentis critique les réponses inadéquates et souvent inhumaines des sociétés d’accueil, tout en appelant à une prise de conscience et à un changement radical dans l’approche de la migration et de l’intégration.

Ce travail de diplôme étudie l’intégration des technologies textiles dans l’architecture pour créer des espaces réactifs et dynamiques. Il explore le rôle des textiles dans le processus de fabrication architecturale, utilisant des outils numériques et la fabrication additive. Cela implique d’expérimenter avec la flexibilité, la résistance des textiles et leur potentiel en tant qu’élément constructif à travers divers tests et applications pratiques. La recherche est encadrée dans une approche hybride théorique et pratique, repoussant les limites des méthodes et concepts architecturaux traditionnels. Les études de cas clés incluent le développement de structures perméables qui s’adaptent aux conditions environnementales et sociales changeantes. Le résultat souligne que les textiles ne sont pas seulement des matériaux, mais des éléments fonctionnels intégraux dans la construction d’environnements qui évoluent et s’adaptent constamment.
