PART 1 et PART 2 INCONDITIONNELLEMENT REVALIDÉ!
MERCI AU RIBA

https://www.architecture.com/education-cpd-and-careers/riba-validation/international-validated-schools

Téléchargez ici la brochure!

 

CONFLUENCE est fier colaborer avec EXKEMA

 

 

Ce semestre, Juan Velasquez, professeur architecte à CONFLUENCE mène deux workshops, un à CONFLUENCE et un autre en Colombie en partenariat avec exkema.

Exkema est une initiative qui a été conçue et mise en place en 2004. Convaincus de l’impératif de susciter des changements positifs et constructifs dans le secteur de l’architecture, les fondateurs d’Exkema se sont engagés dans une quête constante d’innovation. Leur conviction inébranlable dans le pouvoir transformateur de l’architecture a été le moteur qui les a guidés tout au long de leur parcours.

Depuis ses débuts, Exkema s’est efforcé de se positionner à l’avant-garde de l’industrie. Cette recherche incessante de nouveauté les a poussés à cultiver la créativité et à explorer de nouvelles opportunités. Chaque projet entrepris par Exkema est le reflet de cet engagement envers l’originalité et l’excellence. En associant l’expertise traditionnelle à des approches novatrices, Exkema a su repousser les limites de la conception architecturale, créant ainsi des espaces qui transcendent les attentes.

Au fil des années, Exkema a établi des partenariats solides avec des professionnels de divers horizons, ce qui lui a permis de diversifier ses domaines d’intervention. En collaborant avec des experts de différentes disciplines, Exkema a pu aborder les projets sous des angles multiples, intégrant des idées provenant de secteurs variés pour enrichir ses créations.

Au cœur de la mission d’Exkema se trouve l’engagement envers l’innovation sociale et environnementale. En plus de repousser les frontières de la conception architecturale, Exkema s’efforce constamment de créer des espaces durables et éco-responsables. La sensibilisation à l’importance de l’écologie guide chacune de leurs décisions, depuis le choix des matériaux jusqu’à l’implémentation de technologies respectueuses de l’environnement.

Ainsi, Exkema continue de se démarquer en tant que pionnier de l’architecture contemporaine. Leur héritage d’innovation et d’excellence perdure, façonnant l’avenir de l’industrie de l’architecture et inspirant les générations futures à repenser les espaces de demain.

exkema.com

Igor Siddiqui (né en 1974 à Rijeka, Croatie) est architecte et professeur associé à l’Université du Texas à Austin. Il est membre à temps plein du corps professoral de l’École d’architecture depuis 2009, où il détient actuellement la Gene Edward Mikeska Endowed Chair for Design. La pratique, l’enseignement et la recherche de Siddiqui explorent la relation entre l’innovation en design et l’engagement du public. Ses projets en cours examinent le statut de l’intérieur dans l’architecture et comme espace de collaboration artistique.

Siddiqui travaille fréquemment avec des organisations culturelles qui soutiennent des initiatives et des projets d’art public. Son travail a été publié et exposé à travers les États-Unis et à l’étranger. Siddiqui a obtenu sa maîtrise en architecture de l’Université de Yale et un baccalauréat en architecture de l’Université de Tulane à la Nouvelle-Orléans. Il a auparavant enseigné à l’Université de Pennsylvanie, à la Parsons School of Design et au California College of the Arts et a été professeur invité à l’ENSA-Paris-Belleville et à la Cranbrook Academy.

 

La conférence présente des recherches en cours centrées sur les installations temporaires de Claude Parent — les praticables — conçues entre 1969 et 1975.

Le but de ces projets était de tester la théorie de Parent sur la fonction oblique par l’engagement et la collaboration du public. Certaines des conceptions ont été construites, d’autres ne sont connues que par des modèles et des dessins existants, et certaines sont à peine documentées. Sur la base de fragments de documents d’archives, neuf des conceptions d’installations sont reconstruites à l’aide de nouveaux dessins et modèles numériques. En tant que tels, ils peuvent être examinés non seulement individuellement, mais aussi comme une série d’itérations de conception qui forment un ensemble cohérent d’œuvres, sensibles à des contextes variés et inextricablement liés aux activités, artefacts et récits qui les accompagnent sans lesquels notre compréhension d’eux est incomplète… Cinquante ans plus tard, ces projets inspirent de nouvelles possibilités pour conceptualiser la pratique du design au sein et au-delà de l’architecture.

 

Eric AUPOL développe depuis plusieurs années un travail photographique qui explore autant l’espace et l’architecture que le médium lui-même.
Il tente d’enregistrer le réel dans une forme d’objectivité, rendant compte, par la frontalité de ses cadrages, d’un constat des lieux photographiés, comme repères de l’histoire, de la politique et de la société, et comme configuration mentale.

La sienne, s’inscrit dans l’histoire de la photographie documentaire mais aussi dans un lieu qui montre que l’outil n’est jamais transparent, et que ses qualités propres, lumière et cadrages participent à l’organisation de cette réalité enregistrée.

CONFLUENCE invite Eric AUPOL pour explorer de nouvelles manières d’exprimer l’espace et sa perception du réel.

 

 

 

     

Mathieu BONARDET

Diplômé des Beaux-Arts de Paris en 2013, Mathieu BONARDET vit et travaille à Paris. Il amène le dessin à d’autres champs que celui défini par l’espace de la rue.
Sa pratique l’a d’abord conduit à des actions de tournage ou de photographies avant de l’orienter vers le volume.
Depuis, son travail oscille entre dessin et sculpture qui se nourrissent l’un de l’autre et sur le graphite, répond l’acier.
Après la fermeture de la galerie Jean Brolly, avec laquelle il a collaboré pendant 7 ans, il rejoint la galerie ETC à Paris.

CONFLUENCE invite Mathieu BONARDET pour son état d’esprit et repousser les limites du dessin à travers la matérialité et l’espace.

 

        

 

Depuis plusieurs années, je développe un travail photographique qui explore autant l’espace et l’architecture que le médium lui-même. J’essaie d’enregistrer le réel dans une forme d’objectivité, rendant compte, par la frontalité de mes cadrages, d’un constat des lieux photographiés, comme marqueurs de l’histoire, de la politique et de la société, et comme configurations mentales.

Mon travail, que je présenterai lors de cette conférence, s’inscrit dans l’histoire de la photographie documentaire, mais aussi dans un espace qui montre que l’outil n’est jamais transparent, et que ses qualités propres, lumière et cadrage, participent à l’organisation de cette réalité enregistrée.

 

 

Eric Aupol:

Né en 1969 et basé à Paris, Éric Aupol s’est fait connaître par ses photographies relatives aux lieux et espaces comme marquages de l’Histoire et comme configurations mentales. Les étendues du paysage, les resserrements des habitats privés ou collectifs, les détails d’objets, les corps et les visages y sont approchés dans la quête d’une écriture visuelle où le sensible et l’intelligible cesseraient de s’opposer.

La marge, tant historique, que politique et esthétique, traverse à différents niveaux de révélation l’ensemble de son corpus photographique, questionnant les espaces visités tout autant que le médium photographique, en jouant de ce qui s’obstrue et se dévoile au regard dans le réel, palimpseste d’un feuilletage de mémoires et d’Histoire.

Lauréat de la Villa Médicis hors les murs en 2009, représenté par la galerie Polaris à Paris, il enseigne la photographie à l’École Nationale Supérieure d’Art de Bourges, et intervient dans différentes écoles d’art, sous forme de workshops et de conférences (ENSP Arles, ENSCI Paris, International Academy of Art Ramallah, Université de Shanghai,…)

Son travail est présent dans de nombreuses collections publiques et privées, en France et à l’étranger ( Bibliothèque Nationale, Maison Européenne de la Photographie, Musée Heidelberg, Erasmus University of Rotterdam,…)

Born in 1969 live in Paris, Eric Aupol is known for his photographs on the places and spaces as markers of history and as mental configurations. The expanses of landscape, the tightening of private or collective housing, details of objects, bodies and faces are approached in the quest for a visual style where the sensible and the intelligible would stop to oppose.

Margin, as historical, political and aesthetic, through different levels of revelation throughout his photographic corpus questioning the spaces visited as well as the photographic medium, playing what clogs and unfolds in relation to the real, palimpsest of a foliation of memories and history.

Winner of the Villa Médicis Prize in 2009, represented by Polaris Gallery in Paris, he taught photography at the Ecole Nationale Supérieure d’Art de Bourges, and is involved in various art schools, in the form of workshops and conferences (ENSP Arles, ENSCI-Les Ateliers Paris, Ramallah International Academy of Art, University of Shanghai, …)

His work is included in many public and private collections in France and abroad (French National Library, European House of Photography, Paris, Museum ofHeidelberg, Erasmus University of Rotterdam, …)

D’abord, il y a eu des paysages, très simples, très épurés, marqués par le ruban d’une route ou des panneaux de signalisation muets. Et puis, comme par un effet de concentration, ne sont restés que des signes, ou plus exactement des lignes : la conférence se propose de retracer le parcours de Mathieu Bonardet avec une attention particulière à l’espace et au geste, ainsi qu’aux allers-retours entre le dessin et le volume.

 

Mathieu Bonardet:

Dans son travail, le dessin se concentre en son geste et son matériau
premiers : tracer des lignes au graphite. La répétition de ces lignes
est une inscription du corps et du temps dans le dessin. Ce sont les
rapports entre deux éléments – attraction, rejet, rupture, éloignement,
déséquilibre – qui nourrissent le travail de Mathieu Bonardet et donnent
souvent corps à des duos ou diptyques.
Il amène ainsi le dessin dans d’autres champs que celui défini par l’espace
de la feuille : sa pratique l’a d’abord conduit vers des actions filmées ou
photographiées (notamment la série photographique Ligne(s), 2011 qui fait
la couverture de Roven en 2014, ensuite exposée à la König Galerie, Berlin,
en 2017 ou Fracture II, 2015 (acquise par le FRAC Normandie Rouen) avant
de l’amener vers le volume. Depuis, son travail oscille entre le dessin et la
sculpture qui se nourrissent l’un de l’autre : le graphite pour le premier et
le métal pour la seconde. Après la fermeture de la galerie Jean Brolly, avec
laquelle il a collaboré sept ans, il intègre la galerie ETC.

CONFLUENCE est fier de faire partie du mouvement STEM IS FEM.

STEM IS FEM est un projet éducatif qui promeut les spécialités STEM, la science, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques, auprès des lycéennes ukrainiennes.

 

https://stemisfem.org/en/pro-proekt

 

En mars 2022, Confluence Institute et la Kharkiv School of Architecture allaient organiser un workshop commun…

Nous soutenons nos amis de Kharkiv et d’Ukraine et transmettons les mots d’Oleg Drozdov, fondateur du bureau d’architecture Drozdov&Partners et co-fondateur de l’école d’architecture de Kharkiv :

« Mes chers amis étrangers. Merci beaucoup pour votre soutien. Nous avons besoin de votre aide. Vous pouvez convaincre vos gouvernements de fermer le ciel au-dessus de l’Ukraine en organisant des manifestations de masse dans vos États. Nous vous serions reconnaissants si vous pouviez soutenir notre armée en en faisant don. . Notre armée se bat pour notre et votre liberté »

https://www.facebook.com/100007928224644/posts/3158442851096625/?d=n

Confluence Institute Fall 2021 Lecture series

2 Novembre 2021

Le fossé dans le domaine de l’architecture entre la pratique socialement centrée et la pratique formellement exploratoire demeure, et peut-être s’élargit encore. Pourquoi ces formes de pratique sont-elles considérées comme opposées ou même mutuellement exclusives en architecture ? Est-il possible de concevoir une méthode de travail qui engage les deux domaines simultanément ? De plus, il n’y a pas eu suffisamment d’attention accordée à la matérialité en tant que territoire profondément philosophique, intrinsèquement social et formellement génératif pour l’exploration architecturale. Les générateurs de matériaux peuvent devenir des tremplins potentiels le long d’un spectre d’architecture formelle et sociale et aider à déterminer la position et la compréhension de soi de l’architecte. Cette conférence de l’architecte américaine et professeure en pratique de Harvard GSD Jeanne Gang explorera les projets clés de sa pratique, Studio Gang, allant des petits centres communautaires aux bâtiments civiques en passant par les grands parcs publics et les musées qui partagent une attention à la matérialité comme moyen d’engager à la fois aspects sociaux et formels de l’architecture.

 

Jeanne Gang :

FAIA, est le partenaire fondateur de Studio Gang, un cabinet international d’architecture et de design urbain dont le siège est à Chicago avec des bureaux à Paris, New York et San Francisco. Reconnue pour son approche distinctive qui dépasse les frontières conventionnelles de l’architecture, elle crée des lieux saisissants qui relient les gens à leurs communautés et à l’environnement naturel. Son portefeuille diversifié à travers les Amériques et l’Europe comprend entre autres l’extension au Musée américain d’histoire naturelle; l’ambassade des États-Unis au Brésil, et le nouveau Centre de l’Université de Chicago à Paris. Boursière MacArthur et professeure en pratique à la Harvard Graduate School of Design, Jeanne a été nommée l’une des personnes les plus influentes au monde par TIME Magazine. L’édition française de la monographie de son studio, Studio Gang : Architecture, a été publiée cette année.

 

Confluence Institute Fall 2021 Lecture series

30 Septembre 2021

La vie peut être facile. Nous allons à l’école, nous étudions l’architecture (ou toute autre merde), nous travaillons dans un bureau, nous ouvrons notre propre bureau, nous construisons des maisons. Nous nous marions, fondons une famille et vivons dans notre propre maison. En quelque sorte agréable mais bourgeois et irréaliste ! La vie change. Nous vivons dans un monde complexe. L’humanité est confrontée à de grands défis : changement climatique, répartition inégale des richesses, division sociale, inégalités et urgences politiques, avenirs incertains, transformations économiques et changements sociaux. La politique est débordée et le récit du futur a apparemment été aboli. Agissons au lieu de réagir ! L’architecture peut-elle nous y aider?

Benedikt Hartl :

Benedikt Hartl est un architecte allemand. Ses projets étudient la relation complexe entre l’architecture et les processus d’émancipation socio-politique. Au cours des dernières années, son travail a reçu une large reconnaissance internationale avec des publications dans plus de 100 pays. Il expose et donne des conférences tant au niveau national qu’international.

 

Bureau d’en face est un studio d’architecture primé à Munich, en Allemagne. Il a été fondé en 2017 par Benedikt Hartl. Opposite Office dessine, écrit, imagine et construit des histoires architecturales. En créant des solutions spatiales aux problèmes sociaux et politiques, Opposite Office s’engage dans les champs de l’architecture, de la société et de ses interfaces. Leurs projets traversent les registres théoriques et militants pour créer de nouvelles formes de travail architectural par des interventions critiques. Opposite Office travaille à travers l’architecture et son refus. La pratique spatiale militante est fondée sur la recherche de contextes publics, culturels et politiques. L’œuvre se niche entre réalité et fiction. Opposite Office cherche à réimaginer et à repenser l’architecture dans le cadre de sa mission sociale et spatiale. La pratique engagée politiquement et socialement, contribue aux questionnements et enjeux de société. Le travail a été publié et largement exposé dans plus de 100 pays.

 

Confluence Institute Fall 2021 Lecture series

September 2nd 2021

 

There are many examples of experimental architecture, but it is the city itself that we most yearn to change. Yet, despite its dysfunctions, the city evolves very slowly. It is a meme that got stuck and continues to exert its fascination. The changes that do take place occur unintentionally. Like mutations in nature, they happen by chance, accidentally., outside the realm of volition. The internal combustion engine, the human invention that has had the greatest impact on forming the contemporary city and making it what it is, both suburbia and skyscrapers, was certainly not created with the deliberate intention of reshaping the world we live in. This was an accidental by-product. The giraffe does not have a long neck because it decided to, but because of chance mutations that proved to be helpful for reaching high leaves. Are such radical mutations already taking place in the city? If so, how can we identify them and possibly facilitate them?

 

 

Colin Fournier :

Educated at the Architectural Association (AA) London, from which he graduated in 1969 (AA Dipl. Hons), where he was Diploma School Unit Master from 1970 to 1974. He is Emeritus Professor of Architecture and Urbanism at the Bartlett School of Architecture, University College London (UCL), where he was Director of Diploma Unit 18 and of the Master of Architecture course in Urban Design. He was visiting Professor at the University of Innsbruck (Studio 3 for experimental architecture), the Chinese University of Hong Kong (CUHK), the National University of Singapore (NUS), the University of Auckland, etc.

He was an associate of Archigram Architects in London and Planning Director of the Ralph M. Parsons Company in Pasadena, California, USA, responsible for major planning projects in the Middle East, in particular the new town of Yanbu in Saudi Arabia. He was Bernard Tschumi’s partner on the Parc de la Villette project in Paris and co-author, with Sir Peter Cook, of the Graz Kunsthaus, a contemporary art museum in Austria (2003). His “Open Cinema” project was realised in Guimarães, Portugal (2012), Lisbon (2013) and Hong Kong (2016).

He was Chief Curator of the 2013-2014 Urbanism and Architecture Bi-city Biennale for Hong Kong and Shenzhen (UABB*HK), responsible for the Hong Kong section of the Biennale, for which he chose the theme of “The ideal city”. He was approached by the Shenzhen side of the same Biennale as a curator for 2020-2021, with the theme of “The uncertain city”, aborted due to Covid 19.

He is a founding member of The Daylight Academy (DLA), based in Zürich, and currently engaged in a research project on chronobiology, circadian rhythms and daylight in architecture.

Confluence Institute présente :

Conférence de Jacques Rougerie

Jeudi 8 Avril 2021, à 15h30

A l’occasion de la rentrée du semestre de printemps consacré à l’exploration de la Mer, Jacques Rougerie s’adressera aux étudiants de Confluence afin d’évoquer les enjeux de ce fascinant territoire liquide longtemps oublié.

Rendez-vous en ligne sur zoom :  https://zoom.us/j/91786815829

 

JACQUES ROUGERIE

Architecte visionnaire, Membre de l’Institut est passionné par la mer et l’espace. Il fonde ses recherches et ses réalisations depuis plus de 30 ans, sur une architecture bionique basée sur le biomimétisme véritable passerelle entre les formes vivantes et les formes construites en tenant compte notamment des préceptes du développement durable.

Sa vision prospective et son goût pour les nouvelles technologies lui permettent de proposer une meilleure intégration de l’habitat dans le milieu naturel, notamment marin, afin que les hommes qui y vivent puissent s’y inscrire. En ce sens il puise son inspiration à la fois dans l’héritage de Léonard de Vinci et dans sa foi dans le génie humain.

Il a dans cet esprit construit des habitats sous-marins, des vaisseaux à coques transparentes, des musées subaquatiques, des centres de la mer, scientifiques, techniques et culturels, des équipements sportifs et de loisirs, des hôtels, et des équipements aéroportuaires et industriels en France et à l’international.

Il mène ainsi de front ses passions, la mer, l’espace et l’architecture biomimétique.
Expérimentant lui-même ses réalisations en véritable explorateur du monde sous-marin, il est allé jusqu’à habiter plusieurs fois dans des habitats subaquatiques participant notamment au record du monde de 69 jours sous la mer aux Etats-Unis.

Ses projets, SeaOrbiter et la Cité des Mériens, font la synthèse de plus de 30 ans de recherches innovantes dans les domaines de l’architecture marine et sous-marine.
Inspiré aussi depuis toujours par l’œuvre de Jules Verne, il en a adopté la maxime : «Tout ce qu’un homme est capable d’imaginer, d’autres hommes seront capables de le réaliser».

Pour transmettre ses passions et encourager les jeunes au niveau international à avoir de l’audace pour bâtir notre futur, il a créé la Fondation Jacques Rougerie, Génération Espace Mer à l’Institut de France.

« C’est de l’océan et de l’espace que naîtra le destin des civilisations à venir »

 

Confluence Institute est fier de partager l’épisode 10 de la série Hors Concours en partenariat avec lemagazine web tema.archi. Odile y aborde les raisons qui l’ont amenée à repenser la pédagogie et l’enseignement de l’architecture.

 

Odile Decq est l’invitée du dixième épisode du podcast Hors concours. L’occasion pour l’architecte de revenir sur les évolutions marquantes de ces 30 dernières années et de partager sa vision de l’enseignement et de la place des femmes en architecture.

Une petite heure de conversation décontractée pour donner la parole à l’un de ceux qui font la ville d’aujourd’hui. Chaque mois, dans ce podcast, un architecte se raconte à travers son parcours, son œuvre et sa vision de l’architecture.

Nous portons avec nous la mémoire de Mary Vaughan Jonhson, amie et professeure invitée récurente de Confluence. Mary a rejoint notre aventure depuis ses débuts en 2014 et a été un soutien joyeux et indéfectible de notre école. Toutes nos pensées vont à sa famille et à tous les étudiants qui ont eu la chance de rencontrer son enthousiasme contagieux.

 

 

Confluence Institute présente la leçon inaugurale du semestre de printemps de 2021 qui a eu lieu Mardi 2 Mars 2021.

 

RENTRÈE DE SEPTEMBRE 2023

-> INSCRIPTION ICI

 

Comment rejoindre CONFLUENCE ? 

CONFLUENCE a son propre processus de recrutement en dehors de parcourssup, la plateforme de l’éducation nationale. Confluence gère donc de manière autonome le calendrier d’admission et la sélection des étudiants. 

Les candidatures se font en deux temps : une pré-admission en ligne directement via le site internet sur la page éligibilité et, après réception d’un accusé de réception, la constitution d’un dossier dont la liste des pièces est jointe à l’accusé de réception. Le calendrier de la procédure est publié chaque début de semestre pour le semestre suivant.

CONFLUENCE est une des seules école d ‘architecture à proposer deux rentrées par an, une à l’automne, début septembre, et une au printemps, début février.

Quels sont les critères de sélection pour rentrer a CONFLUENCE  ? 

La sélection pour rentrer à Confluence Institute se fait sur dossier ( lettre de motivation, CV…), portfolio et vidéo dans laquelle le candidat se présente et expose ses motivations qui tient lieu d’entretien.

Contrairement aux écoles traditionnelles françaises, Confluence ne fait pas d’entretien individuel afin de permettre aux étudiants étrangers de postuler au même titre que les étudiants français.

En cas de doute de la part de l’école, un entretien direct peut être demandé.

CONFLUENCE Institute est très impliqué dans la lutte contre la pandémie du COVID-19.

Soucieux de la santé de ses élèves et de ses enseignants, CONFLUENCE respecte les gestes barrières et autres consignes d’hygiène sanitaire pour éviter la propagation du virus.

Le port du masque est obligatoire à l’intérieur de CONFLUENCE et la distanciation respectée grace à la réduction des effectifs en présence réalisée par l’alternance des groupes et de l’enseignement On Line.

Les étudiants alternent le travail chez eux et le travail sur leur poste dédié.

Le dépistage est systématiquement organisé dans l’école une fois par mois pour l’ensemble des étudiants et des enseignants.

Confluence Institute est fier d’annoncer son thème de recherche du printemps 2021. Profitant de la proclamation par les Nations Unies de la « Décennie des sciences océaniques pour le développement durable – 2021-2030 », toute l’école recherchera et élaborera des propositions prospectives sur l’océan.

71% de notre planète est constitué par l’océan.

Il représente 361 millions de km2 et contient 1,33 milliard de m3 d’eau. Il régule notre climat. Sans lui, la température de l’atmosphère serait plus élevée de 35°.

Le corps humain est composé à 70% d’eau et la composition de son plasma est très proche celle de l’océan. Ce dernier fournit toute l’eau que nous buvont, la moitié de notre oxygène et un cinquième de nos protéines.

Pendant longtemps, le pouvoir économique, politique, social et culturel était entre les mains de ceux qui maîtrisaient l’océan. En contrôlant les océans, les empires contrôlaient le monde depuis les ports et donnaient naissance à de grandes civilisations (vénitienne, flamande, génoise, hollandaise, anglaise, américaine, chinoise) et à leurs villes qu’elles soient réelles, légendaires ou submergées.

De plus, la plupart des innovations provenaient principalement de la mer, qu’il s’agisse d’idées ou de marchandises. Aujourd’hui, alors que neuf biens, communications ou données sur dix traversent l’Océan, il est devenu plus que jamais le lieu du débat géopolitique.

En effet, jusqu’à aujourd’hui, plus de 50% de l’humanité vit sur la fine frontière de 100 km de large qui sépare les océans et les terres intérieures. Comment cette zone fera-elle face à l’élévation du niveau de la mer et à la transformation profonde des côtes océaniques?

De plus, le changement climatique et la croissance démographique nous forceront inévitablement à changer ou à établir de nouvelles relations avec ce continent liquide inconnu. L’océan est déjà confrontée à des défis climatiques et politiques majeurs et jouera sans aucun doute un rôle important dans la survie de l’humanité.

Avec la collaboration d’Odile Decq, Nicolas Hannequin, Jieun Kim, Nicolas Floc’h, Didier Faustino, Marc Van Peteghem, Jacques Rougerie, Christian Buchet, Bruno Dehan et Gaetan Kohler, les étudiants de Confluence passeront le semestre de printemps à travailler et à repenser ce nouveau territoire: entrer, voyager, vivre à l’intérieur, au-dessus et à l’intérieur, le protéger, établir de nouvelles colonies…

 

 

Instabilities and Potentialities,

Notes on the Nature of Knowledge in Digital Architecture

Confluence Institute est fier de présenter la publication de nos chers amis et professeurs associés Aaron Sprecher et Chandler Ahrens. Leur livre explore notre culture post-digitale afin de mieux appréhender son impact sur le discours théorique et les procédés de fabrication de l’architecture contempraine.

Avec les contributions de : Georges Teyssot, Antoine Picon, Mark Linder, Dana Cupkova, David Freeland and Brennan Buck, Viola Ago, John Carpenter, Nicholas de Monchaux, Martin Bressani, Volkan Alkanoglu, Thom Mayne, Alvin Huang, Pablo Lorenzo-Eiroa, Alessandra Ponte, Laurent Stalder, Satoru Sugihara, Greg Lynn, Tom Shaked et Uri Dublin, Jose Sanchez, et Theodora Vardouli.

Confluence Institute a organisé une série d’évènement en ligne durant le premier confinement de 2020.

Voici le lien vers la conférence qui a eu lieu le Mercredi 17 Mai 2020.

Antoine Picon est directeur de recherches à l’École des Ponts ParisTech et professeur à la Graduate School of Design de l’Université Harvard.

Ses recherches et son enseignement portent sur l’histoire croisée des sociétés, des techniques, de l’espace architectural et urbain. A l’École des Ponts, il est membre du Laboratoire Techniques, Territoires et Sociétés.

 

 

[BLAST] remporte le prix d’encouragement de l’académie des Beaux-Arts Academy Award. Le studio est fondé par deux diplômés de Confluence, Martin Detoeuf and Pierre de Pingon.

Le “Biological Laboratory of Architecture and Sensitive Technologies” [BLAST] est un groupe fondé en 2018 dans le but d’explorer les relations possibles entre les nouvelles technologies et le vivant afin de développer de nouveaux processus de conception et de création architecturale. Les outils de conception et de fabrication numériques sont au coeur des expérimentations du groupe dans les projets de design, de scénographie et d’architecture. Blast Studio développe une recherche afin d’explorer de nouvelles façons de faire dialoguer la nature et la technologie. Inspirés par la nature, nous avons créé un nouvel écosystème dans la ville, où nous recyclons les déchets urbains en objets et meubles durables, grâce à des organismes vivants. 

Face au volume exponentiel de déchets, ces trois architectes ont l’idée de les transformer, grâce à la technologie, afin de construire de manière responsable et durable. L’aventure débute dans une cuisine, avec l’impression de mycélium à l’aide d’une imprimante 3D. En 2019, ils acquièrent de l’expertise dans le centre Open Cell lors de leur séjour à Londres, où ils décident par la suite d’implanter leurs locaux. Les déchets y sont broyés, stérilisés puis mélangés à des champignons qui digèrent leur matière organique. Une fois sous forme de pâte, une imprimante 3D les transforme en œuvre d’art, mobilier ou architecture durable.
Leur projet en 2021 est de construire un pavillon, première étape vers le rêve d’une ville faite de ses propres déchets.

Blast Studio: 3d Printed ArtefactsBlast Studiohttps://www.blast-studio.com

 

Le tout premier workshop de l’année 2020 est désormais terminé.

Celui-ci, dirigé par l’architecte belge David Tajchman, a été pour le moins intense !

Il a challengé nos étudiants, en questionnant l’idée d’une maison infinie pour le XXIst siècle.

Inspiré par l’héritage formel de Barbara Hepworth, oscillant entre une approche digitale et une approche plus art and craft, le résultat de son workshop est inspirant…

En d’autres termes: une belle introduction à ce semestre !

The URBAN SPACE, part of the CONFLUENCE INSTITUTE, is proud to announce the first Wild Card of its semester long program.

This week long event is the exhibition of a selected individual, young and promising, developing a discourse challenging our contemporary world.

Between Monday, 16th December 2019 and Thursday, 19th December 2019:
Sarah Lou Maarek, a young architect and artist, will occupy our exhibition space, located at the 11 rue des Arquebusiers, 75003, Paris.
Titled ‘From Furby with Love’ this Wild Card echoes Marshall McLuhan famous affirmation: “ We become what we behold. We shape our tools, and thereafter our tools shape us ”.
Using tools spanning from Visual Arts to Architecture, Sarah Lou Maarek is questioning the Y Generation relationship to Intelligent Machines.
In this exhibition, the Furby – a toy with which her generation grew up with – becomes symptomatic of our relation to the so-called smart objects and technologies.
She tries to answer the too often overlooked question:
Why do I sometimes speak to my computer ? ”.
While highlighting our trust in digital entities such as Alexa, Siri or Bixby, she questions our gaze on these personified technologies.

Who is the master ? Who is truly the slave ?

In a context by definition binary, she outlines a third option: the Doll, incarnation of all our digital fantasies and disorders. This – so far unachieved – entity inhabits a speculative world, oscillating between paradoxes: reality and fiction, dream and nightmare, subjection and emancipation, utopia and dystopia; rendering the possibility of a cohabitation between flesh and data, emotions and codes.

From Furby with Love opening: Monday, 16th December 2019 at 7PM.
Confluence Institute – Urban Space – 11 rue des Arquebusiers, 75003, Paris.

La semaine dernière, le workshop était dirigé par
Sir Peter Cook !

Nos étudiants sont fiers d’avoir partagé une semaine avec l’iconique Sir Peter Cook.

Confluence Institute tient à remercier l’ensemble des membres du jury présents lors de la présentation finale: Carin Smuts, Andrew Todd, Christophe Leray, Jacques Sauterau et, bien évidemment, Peter Cook.

Notre Bras Robot, un Kuka KR 10 R1100, a été livré !

 

Nous sommes plutôt fiers.

Ce nouvel outil intègre notre Creative Maker Space et rejoint notre longue liste d’outils de fabrication à commande digitale.

Entre nos Imprimantes 3D, CNC, Découpeuse Laser, entre autres choses.

 

Nos étudiants sont excités à l’idée de tester et de prototyper leurs idées !

 

Il sera bientôt utilisé par nos étudiants, qui mènent une recherche sur l’implication de la géométrie en robotique, sous la direction de Charles Ober.

Confluence Institute est heureux d’annoncer sa prochaine conférence !

Sir Peter Cook, membre historique du collectif Archigram, donnera une conférence intitutlée:

Cities, Towns and Magic Moments

Le lundi 18 Novembre 2019, à 19h.

Rendez-vous au 11 rue des Arquebusiers, 75003, Paris.